Comment bien déchiffrer une étiquette de vêtement ?

 

Présentée comme une mini-carte d’identité, l'étiquette d'un vêtement n'est pas toujours facile à décoder. Quelques pistes pour comprendre ce qu'il ressort de sa lecture, et ce qu'elle nous dit de l'origine d'un habit.

«Les étiquettes sont hypergrandes, mais il n’y a rien dedans». Le constat amer que pose Audrey Millet, l'auteure du Livre noir de la mode (1) , sur la lecture d'une étiquette met en évidence que celle-ci n'est pas si simple. Ce petit morceau de tissu, que l'on retrouve dans l'envers des habits, est souvent le seul indice sur lequel le consommateur peut se reposer pour obtenir des informations concernant la fabrication d'un vêtement. D'où vient-il ? Comment l'entretenir ? Respecte-t-il l'environnement ? Qui sont les personnes qui le fabriquent ? Sur l'étiquette, les réponses se lisent entre les lignes. (...)

Lactalis rappelle des fromages brie et coulommiers de la marque Graindorge

 

Les fromages rappelés sont susceptibles de contenir un agent responsable de la listériose, une infection alimentaire rare mais particulièrement meurtrière.

ne campagne nationale de rappel concernant six fromages issus d'une fromagerie de la marque Graindorge (groupe Lactalis) et commercialisés par des grandes enseignes a été lancée mardi 5 avril, car ils pourraient contenir la bactérie responsable de la listériose, selon le site gouvernemental Rappel Conso. Elle concerne «quelques centaines de fromages», a indiqué à l'AFP Bruno Lefèvre, le directeur la Fromagerie de Livarot qui les a produits et qui appartient à Graindorge. Il s'agit de Coulommiers et de Bries 1 kg de marque Normanville et de marque Graindorge. Ces fromages rappelés sont susceptibles de contenir des Listeria monocytogenes (agent responsable de la listériose). (...)

Google écope d’une amende de 2 millions d’euros pour pratiques commerciales abusives

 
Google a été condamné lundi (28 mars) à une amende de 2 millions d’euros pour les « déséquilibres significatifs » que l’entreprise a instaurés avec les développeurs d’applications par le biais de clauses jugées abusives.

Après quatre ans de procédure, et de nombreux reports de la décision, le tribunal de commerce de Paris s’est rangé du côté de l’exécutif français.

Dans une décision consultée par EURACTIV, la justice française a condamné Google à une amende de 2 millions d’euros pour le « déséquilibre significatif » entre le géant américain et les développeurs d’application.

En février 2018, le ministre de l’Économie avait assigné Google et Apple devant la justice pour demander la « cessation de leurs pratiques commerciales abusives et leur condamnation à une amende de 2 M€ ».

Le gouvernement reprochait aux deux entreprises d’imposer une fourchette de prix aux développeurs, dont une commission de 30% appliquée sur chaque vente réalisée sur le Play Store de Google, ou encore leur possibilité de modifier ou suspendre unilatéralement le contrat passé avec ces derniers. (...)

DMA: the rapporteur’s take

 

Last week, the EU co-legislators reached an agreement on the Digital Markets Act (DMA), landmark legislation targeting the largest tech companies. 

We discuss the key points of the file with the European Parliament’s rapporteur Andreas Schwab. (...)

Somos o que comemos. Estudo revela que a alimentação influencia a nossa personalidade

 

O que comemos influencia a microbiota intestinal, que consequentemente, pode afectar o nosso humor e energia.

Já diz o ditado que somos o que comemos — e parece que a sabedoria popular estava um passo à frente da ciência neste assunto. Um novo estudo publicado na Nutrients sugere que existem bactérias e metabolomas distintos associados a cada traço de personalidade.

“Isto reforça muitos dos conceitos de saúde pública relacionados com a nutrição. A microbiota intestinal pode influenciar a forma como somos, só não a forma como somos agora. As conclusões são mais sugestivas do que definitivas, mas contribuíram para o nosso entendimento do que a saúde intestinal pode fazer e o que faz as pessoas sentir”, revela Matthew Lee Smith, um dos autores do estudo. Ler mais

Preços da água vão subir com o fim das tarifas abaixo de custo

 O plano estratégico prevê a necessidade de se investir 6,6 mil milhões de euros na rede, sendo este um valor conservador. Os fundos serão conseguidos com a aplicação do princípio utilizador-pagador.

A estratégia nacional para esta década relativa à água avança para o fim da venda abaixo do custo, que ainda acontece em muitos municípios, e pode haver um aumento médio de até 50% nos preços a cobrar pelo abastecimento de um metro cúbico e pelo tratamento dos efluentes, escreve o Público.

Até 2030 serão precisos 6,6 mil milhões de euros de investimento para o equilíbrio das contas dos serviços de água e o princípio do utilizador-pagador pode ser a resposta. As perdas de água nas redes também ainda rondam os 30%. Ler mais

DIRETO AO CONSUMO COM O PROFESSOR MÁRIO

 

ESTÁ NO AR O PROGRAMA DIRETO AO CONSUMO COM O PROFESSOR MÁRIO FROTA

Jornal Valor Local 

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