Dimanche, plusieurs quotidiens, dont le Washington Post aux États-Unis et Le Monde en France, ont publié leurs premiers articles tirés de ces «Uber Files».
La plateforme Uber a déclaré dimanche 10 juillet qu'elle ne ferait pas d'excuses pour son «passé», en réponse à une enquête internationale de journalistes montrant que l'entreprise a eu recours à des pratiques brutales et a «enfreint la loi» pour s'imposer malgré les réticences des politiques et des taxis.
«Nous n'avons pas fait et ne ferons pas d'excuses pour des
comportements du passé qui ne sont clairement pas alignés avec nos
valeurs actuelles», a indiqué Jill Hazelbaker, vice-présidente chargée des Affaires publiques d'Uber, dans un communiqué en ligne. Le Guardian,
un quotidien britannique, a obtenu et partagé avec le Consortium
international des journalistes d'investigation (ICIJ) quelque 124.000
documents, datés de 2013 à 2017, comprenant des e-mails et messages des
dirigeants d'Uber à l'époque, ainsi que des présentations, notes et
factures. (...)
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